samedi 27 avril 2024

Lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")

 

CONSIGNÉ EN ROBE PAR MA FEMME

par Dave (Lucy)

Chère tante Helga,

J'ai découvert votre site il y a quelques semaines en faisant des recherches sur le nombre d'hommes qui sont comme moi totalement contrôlés par leur femme. Je dois dire que j'ai trouvé chaque lettre merveilleusement unique à sa manière. Même si la plupart des hommes sont contrôlés par leur femme, je n'ai pas trouvé grand-chose de comparable à ma situation. Ma magnifique épouse Samantha et moi sommes mariés depuis 16 ans et nous avons 2 adorables filles, Hannah 16 ans, et Kelly 11 ans. Eh bien, depuis le tout début, tout le monde sait que Sam était et est toujours la personne dominante dans notre relation. Elle est ma patronne à tout moment et je lui obéis toujours même quand je pense qu'elle a tort.

Elle fait 6 pouces de plus que moi (environ 15 cm), est beaucoup plus forte physiquement, et beaucoup plus en forme car elle va régulièrement au gymnase et enseigne l'autodéfense à d'autres femmes pendant son temps libre. Elle sait donc prendre soin d'elle dans toutes les situations. Mais je ne suis pas le seul homme à être tombé sous son charme. Elle est également une personne très dominante sur le plan professionnel dans son emploi. Au cours des deux dernières années, elle a été promue deux fois et est aujourd'hui directrice. Elle a licencié et détruit la carrière de plusieurs hommes qui tentaient de lui faire obstacle alors qu'elle grimpait vers le sommet. Maintenant, tous les hommes la craignent (les rares qui restent). Mais les femmes là-bas l'admirent.

Il y a douze mois, j'ai été licencié de mon emploi de consultant en maintenance. Samantha m'a dit de ne plus chercher de travail. Elle a dit que je pouvais rester à la maison et devenir un mari au foyer. Eh bien, je me suis dit qu'à mesure que les filles grandissaient, la vie devenait plus facile et que Sam gagnait un bon salaire, nous pouvions donc nous le permettre. J'ai donc accepté. Au début, c'était encore plus facile que je ne le pensais, car Janice et Molly, deux femmes au foyer voisines, qui sont aussi nos amies, m'ont aidé dans les travaux ménagers. Même la mère de Sam m'a aidé. Quelques semaines plus tard, Sam m'a pris toutes mes mensurations avec un mètre ruban. Je pensais qu'elle faisait juste un de ses bilans de santé habituels et elle m'a fait plaisir en me complimentant sur le fait que j'avais réussi à maintenir mon poids. Mais je sais aujourd'hui qu’elle avait un sinistre projet en tête.

Le lendemain matin, ma femme et sa mère Patricia, qui ressemble à Sam et qui est toujours séduisante, m'ont emmené faire du shopping avec elles. C'est une règle: je dois aller faire les courses avec Sam à moins qu'elle décide du contraire. Nous avons terminé nos courses habituelles. Sur le chemin du retour, dans la voiture, Patricia a dit à Sam: "Ce magasin là est le meilleur endroit pour ça". J'ai demandé de quoi elle parlait, mais je n'ai reçu aucune réponse, ce qui m'a semblé un peu étrange, car on entrait dans un magasin de vêtements féminins bon marché. Patricia m'a lancé un long regard vide alors qu'elles sortaient de la voiture pour se diriger vers le magasin, en me demandant de les attendre dans la voiture. Je ne comprenais pas pourquoi, mais j'avais compris qu'elles préparaient quelque chose.

Une demi-heure plus tard, elles sont revenues avec 4 sacs remplis de vêtements. Comme c'était un magasin où ma femme ou sa mère n'allaient normalement jamais car les vêtements qu'elles portent habituellement  sont plus élégants et plus chers, et comme elles continuaient toutes les deux à me regarder longuement et silencieusement, j'ai eu peur que quelque chose n'allait pas. Mais Sam semblait heureuse à notre retour à la maison et m'a dit: "Demain, il faudra que je te parle."

Le lendemain matin, j'ai emmené les filles à l'école comme d'habitude. À mon retour, je trouvai Sam qui jetait un nombre anormal de sacs dans la poubelle. Elle m'a dit: "Va prendre une douche, et je m'occuperais de toi dans un moment." Alors que j'étais sous la douche, elle a pris les vêtements que je venais de retirer, me laissant seulement une serviette. Alors que je me dirigeais vers la chambre après ma douche, j'ai vu Sam dans le hall, un soutien-gorge à la main, qui me regardait de façon étrange.

Je suis entré dans la chambre, j'ai regardé dans ma garde-robe, et, à ma grande surprise, il n'y avait que de la lingerie féminine dans mes tiroirs et des robes, des jupes et des chemisiers dans mon placard. Mais j'ai d'abord pensé qu'elle avait juste décidé de déplacer des choses. Samantha est alors entrée dans la pièce. Elle s'est faufilée derrière moi, a chatouillé ma poitrine et a passé ses mains vers mes épaules. Je n'avais pas remarqué que 2 sangles passaient sur mes bras. Elle a tiré quelque chose sur ma poitrine et l'a attaché dans mon dos. J'ai alors découvert qu'elle venait de m'enfiler un soutien-gorge. Elle m'a ensuite tendu une culotte blanche soyeuse et m'a dit de la mettre. Pour m'aider, elle l'a remontée le long de mes jambes. Je me suis retourné en m'attendant à ce qu'elle me regarde de manière excitante et provocante (car je pensais que c'était le début d'un jeu érotique). Mais elle a juste ajusté les bretelles de mon soutien-gorge et m'a traité comme si j'étais sa sœur. Ensuite, elle a fouillé dans ma garde-robe et en a sorti une robe à fleurs bleue avec des fleurs de différentes couleurs. Elle me l'a enfilée, et l'a fermée par l'arrière, me regardant toujours comme si c'était normal.

Je pensais toujours que Sam jouait avec moi. (Même si elle était entièrement habillée dans son tailleur qu'elle ne portait que lorsqu'elle allait travailler). Ensuite, elle a sorti une paire de collants de mon tiroir et s'est approchée de moi. Toujours convaincu que c'était un jeu, je lui ai demandé "pourquoi portes-tu tes vêtements de bureau"? Elle a répondu: "parce que dès que j'aurais fini de vous habiller, madame, c'est là que j'irai". Puis elle a ajouté: "Comme vous êtes désormais une femme au foyer, il est grand temps que vous commenciez à vous comporter comme telle". Elle m'a expliqué cela, puis m'a expliqué que je devais arrêter de flirter avec nos amies femmes au foyer du voisinage pendant qu'elle était au bureau. Je devrais m'habiller comme elles pour que j'arrête. Puis elle a insisté en disant: "Tu es maintenant une femme au foyer, tu t'habilleras désormais en femme quand je ne serai pas là."

jeudi 18 avril 2024

Auteur original: Linda Trainer

 Version originale sur le site: http://lindastgcaptions.blogspot.com/

La Sissy à sa belle-mère

Après la mort de mon père, mon odieuse belle-mère m'a envoyé dans une clinique de féminisation au Brésil. Là, en 18 mois, j'ai subi une transformation total qui m'a fait passer d'un adolescent normal à une sissy soumise et sexy. Cette clinique de féminisation était en partie un hôpital, en partie une sorte d'école bizarre et en partie une espèce de camp de concentration infernal.

On m'a réveillé très tôt aujourd'hui et emmené dans un salon de beauté, où, pendant plusieurs heures, on m'a coiffé et maquillé dans un style très glamour. Ensuite, j'ai été ramené au bâtiment administratif où mes gardiens m'ont habillé de lingerie très chic.

Alors qu'on enfilait des bracelets sur mon poignet, j'ai entendu la voix de ma belle-mère venant de la pièce voisine. Je ne l'avais pas vue depuis qu'elle m'avait fait emprisonner dans cette clinique, un an et demi plus tôt.

"Oui, Sissy, ta belle-mère est là. Elle a hâte de voir ce que nous t'avons fait! C'est l'heure de tes grands débuts en public", m'a dit l'un de mes gardiens avec un sourire cruel.

"Eh bien, dépêche-toi et sors d'ici !" a ordonné ma belle-mère depuis la pièce voisine. "Ne sois pas si timide, ma nouvelle belle-fille n'a aucune raison d'être intimidée devant sa belle-mère", a-t-elle ricané.

J'étais figé de peur, horrifié par l'idée de défiler devant elle en soutien-gorge et petite culotte, ma féminisation complète pleinement visible.

"Sors et tiens-toi bien, sinon…" a menacé le gardien en brandissant le fouet qu'il portait toujours sur lui.

J'ai avalé difficilement ma salive, et me suis préparé à l'humiliation qui m'attendait. J'ai écarté nerveusement le rideau de perles qui pendait dans l'embrasure de la porte et j'ai fait mon entrée dans l'autre pièce. Mon horrible belle-mère était là, assise sur un canapé, et blottie contre un homme que je n'avais jamais vu auparavant.

Ma belle-mère a crié de joie quand elle m'a vu. "Oh mon Dieu!" s'est-elle exclamée. "C'est encore mieux que ce que j'aurais pu rêver. Regarde-toi, espèce de petite tapette pathétique. Tu dois être une belle salope, pour te montrer ainsi dans ta lingerie de fille devant tout le monde."

"N'est-ce pas merveilleux, Roberto", a dit ma belle-mère à l'homme à côté d'elle, "Maintenant que mon beau-fils a disparu pour toujours, j'hériterai de tous les millions de son père. Nous sommes riches, Roberto !" dit-elle en lui faisant un gros câlin.

"Eh bien, il est temps de rentrer à la maison Sissy. Dès aujourd'hui, tu commences une nouvelle vie en tant que ma servante personnelle, ma propre servante à plein temps s'occupant de tous mes besoins. Ne sera-ce pas merveilleux ?" taquina-t-elle.

"Nous allons l'habiller et l'amener à votre limousine", proposa gentiment le gardien.

"Oh mon Dieu non," a répondu ma belle-mère. "Elle n'a pas besoin de vêtements. Elle est très jolie comme ça. Viens Sissy, monte dans la voiture. Une nouvelle vie t'attend!"

vendredi 12 avril 2024