Les lettres publiées sur le site
"Petticoat Discipline Quarterly" racontaient des témoignages de "petticoat
discipline" (discipline par le jupon).
Féminisé par une famille de femmes
dominatrices.
Par Andrea
Chère Tatie
Helga,
Je viens de
lire les lettres de votre site Internet. Je suis un jeune homme de 19 ans, et
je réalise maintenant que les femmes sont en fait le sexe fort (et pas
uniquement dans ma famille).
Il y a douze
mois, j'en avais assez que ma mère nous domine, mon père et moi. Elle était
véritablement le chef de famille. Elle décidait de tout ce que nous faisions,
et à chaque fois qu'elle n'était pas d'accord avec nous, nous n'osions pas nous
opposer à elle, ou alors nous finissions punis ou humiliés. J'ai donc décidé de
quitter la maison. Je n'avais pas les moyens de m'offrir mon propre logement, alors
j'ai demandé à ma sœur de m'héberger. Après avoir reçu l'accord de Claire, la
compagne de ma sœur, elle m'a accueilli chez elles, et m'a offert leur chambre
d'amis, me disant que je pouvais rester aussi longtemps que je le désirais.
Les deux premières
semaines ont été formidables. Je pouvais faire ce que je voulais, quand je le
voulais. Mais je devais faire ma part de tâches ménagères. Leur vie privée
était bien plus dissolue que la mienne. Elles passaient souvent d'une pièce à
l'autre, ou se rendaient dans la salle de bain en petite tenue, voire
entièrement nues, et ne semblaient pas se soucier que j'étais là à les
regarder. Parfois, Julie et Claire m'ont dit d'aller me coucher tôt si je ne
voulais pas assister à leurs ébats amoureux. Puis, progressivement, les choses
ont changé. Un après-midi où je travaillais dans la cuisine avec Claire, je ne
trouvais plus mon tablier, alors elle m'a dit de mettre le sien. C'était un
tablier sexy de fille, et ma sœur a senti que j'étais gêné. Elle me l'a donc
fait mettre et l'a attaché dans mon dos, disant que personne d'autre ne le
verrait. Cela semblait normal aux filles, je me suis donc habitué à le porter.
Deux jours
plus tard, je me retrouvais avec un bleu sur le visage suite à un léger
accident. Julie l'a dissimulé avec du fond de teint, disant encore une fois que
personne n'allait s'en rendre compte. C'était mieux que de sortir avec un bleu,
mais j'étais effrayé à l'idée que quelqu'un remarque que je portais du
maquillage. Personne ne l'a remarqué. Un peu plus tard la même semaine, je me
suis plaint auprès des filles qui avaient mis mes deux robes de chambre à
laver, parce que je n'avais plus rien à me mettre en sortant du lit. Claire m'a
alors prêté sa robe de chambre rose. Alors que j'allais refuser, Julie me l'a
posée sur les épaules et m'a dit que personne d'autre n'allait le voir. J'ai
alors porté cette robe de chambre pendant deux nuits, me disant que d'autres
hommes faisaient certainement la même chose.
Claire a un
emploi partiel de prof de fitness, et elle m'a dit que ma posture était
mauvaise, et que je devais la corriger. Alors que personne ne m'avais jamais
rien dit de tel, je lui demandais conseil. Elle m'a conseillé de porter un
redresse dos pour m'obliger à me tenir droit. Elle a pris mes mesures er a
passé commande sur Internet. Quand le colis est arrivé, il s'est avéré qu'il
s'agissait d'un soutien-gorge de sport qui s'attachait par devant. J'ai dit
qu'on devait le renvoyer, mais Claire m'a dit que c'était parfait, et que cela
allait faire l'affaire. Une fois de plus, elles m'ont dit que personne n'allait
le voir en me faisant l'enfiler. A ce moment-là, j'ai dit qu'elles allaient
trop loin. Claire a insisté, disant que c'était parfait. Alors que je tentais
d'enlever ce soutien-gorge, Julie m'a dit que si ça ne me plaisait pas, je
pouvais toujours rentrer chez mes parents. Elles m'ont autorisé à le retirer
pour aller me coucher, mais je me suis vite habitué à porter un soutien-gorge
chaque jour. Deux jours plus tard, 3 nouveaux correcteurs de postures ont été
ajoutés dans mon tiroir à sous-vêtements, et oui, c'étaient en fait des
soutiens gorges. Claire m'a dit "qu'ils devaient être en rupture de stock
sur les modèles pour hommes". Alors que je commençais à discuter, Julie
m'a dit de cesser d'être aussi coincé et susceptible.
La semaine
suivante, alors que je m'étais habitué aux soutiens gorges, Julie a remarqué
que mes caleçons commençaient à être vieux et usés, et que j'allais avoir
besoin de nouveaux sous-vêtements. Claire m'a proposé de m'en offrir, mais j'ai
refusé. Pourtant, sans emploi, je ne pouvais me permettre d'en acheter par
moi-même. Elles sont allées en acheter, mais je n'ai pas osé les accompagner,
me doutant que Claire voulait m'humilier en m'entrainant dans une boutique de
lingerie. A leur retour, Claire m'a dit qu'elles avaient un cadeau pour moi, me
disant que j'allais adorer. Julie m'a montré leurs achats. Elles avaient
dépassé mes craintes en m'achetant une dizaine de culottes de femmes rétro
imprimées d'un motif fleuri. Etonnamment, aucune d'entre elles ne faisait un
sourire malicieux. Leur sourire semblait juste sincèrement gentil. C'était
juste comme si elles me considéraient comme une petite sœur. J'ai dit: "Mais,
je ne peux pas porter ça. Ce sont des culottes de femme!" Une fois de
plus, elles ont argumenté en disant que personne d'autre n'allait les voir.
"Mais vous allez les voir, et moi. Vous imaginez à quel point c'est
humiliant pour moi de porter d'abord un soutien-gorge, et maintenant une petite
culotte!" Ma sœur s'est alors fâchée: "Comment oses-tu? Quelle
ingratitude! Claire a dépensé son argent pour t'acheter les nouveaux
sous-vêtements dont tu avais absolument besoin, et c'est comme ça que tu la
remercies? C'est tout de même la moindre des choses qu'elle puisse choisir ce
qu'elle t'achète. Tu as intérêt à t'excuser, si non, on te mets dehors!"
Je me suis excusé, et elles m'ont fait enfiler une petite culotte. Claire m'a
expliqué que si déjà je portais un soutien-gorge, ce serait une faute de goût
de porter un caleçon. J'ai compris que tant que je vivrais sous leur toit,
j'allais souvent devoir porter de la lingerie féminine.
Un peu plus
tard, j'ai reçu d'autres pièces de lingerie féminine, y compris des soutiens
gorges que j'ai dû apprendre à attacher dans mon dos, comme les filles. Je m'y
suis également habitué. Un jour j'ai fait l'erreur de dire à Claire qu'au
moins, quand j'allais me coucher seul dans ma chambre, je pouvais porter ce que
je voulais. En effet, pour dormir, je portais encore un caleçon. Deux nuits
plus tard, au moment de me coucher, je ne trouvais plus aucun de mes caleçons
dans ma chambre. Je n'ai rien dit, me disant qu'elles les avaient pris pour les
laver, et je me suis couché nu. Peu après, elles ont frappé à ma porte.
"Tu n'aurais pas oublié quelque chose?" "Non!" "Si,
si, on pense que tu as oublié quelque chose." J'ai alors protesté à propos
de mes caleçons qui avaient disparus. Julie est alors entrée avec un grand
sourire sur son visage et m'a dit: "Regarde ce qu'on a pour toi, petite sœur!"
Elles sont entrées toutes les deux avec des nuisettes dans leurs mains. Je
savais qu'il était inutile de résister, et bientôt, je me retrouvais en
nuisette devant elles. J'ai remarqué qu'il s'agissait d'une nuisette
appartenant à ma sœur. "Oui, mais elle est à toi maintenant, petite sœur."
Claire a suspendu une autre nuisette dans mon placard disant que celle-ci aussi
était à moi. Alors que je montrais mon désaccord, Julie a encore une fois dit
que personne d'autre ne saurait. Je me retrouvais donc en lingerie féminine le
jour, et en nuisette la nuit. Comme ma sœur ne cessait de répéter que personne
ne le saurait, j'espérais encore que les choses n'iraient pas plus loin.
Un mois plus
tard, je regardais un DVD avec Claire tandis que Julie était sortie. La mère de
Claire est arrivée avec des sacs de courses. J'ignorais s'il s'agissait de
nourriture, ou d'affaires qu'elle avait apportées pour sa fille. Mais dès que
sa mère était repartie, Claire a arrêté le DVD et la télé. Elle m'a regardé et
m'a tancé: "Tu as un air stupide avec ce pantalon et ce tee-shirt".
Mais je ne peux pas m'offrir autre chose. Elle m'a entrainé dans leur chambre.
J'avais un mauvais pressentiment sur ce qui m'attendait. En plus, en me
retrouvant dans cette chambre qui m'était normalement interdite, je me sentais
encore plus intimidé. Elle m'a fait enlever mon pantalon, mon tee-shirt et mes
chaussettes, me laissant en petite culotte et soutien-gorge. Son regard était
très inquiétant. Elle m'a dit, semblant oublier que j'étais un garçon: "Tu
serais bien mieux dans une tenue adaptée à ton genre. Je ne peux plus te
laisser porter des trucs aussi moches." Elle a choisi une robe et s'est
approchée de moi. Je sanglotais: "Non, pas ça. Ne me fais pas ça." Je
ne sais pas pourquoi j'étais paralysé de peur, et je restais là sans bouger. Sa
voix sévère me rappelait ma mère, et comme j'avais été éduqué pour lui obéir,
c'est ce que j'ai fait. Je me sentais totalement à sa merci. Je me suis vite
retrouvé dans cette robe. Ensuite, elle m'a fait assoir sur une chaise pour
m'enfiler une paire de collants, qu'elle a remontés jusqu'à couvrir ma petite
culotte. Elle a ensuite sorti une paire d'escarpins avec un talon de 10 cm qui malheureusement
m'allait. Elle m'a alors demandé de marcher dans l'appartement pour m'entrainer
à marcher en talons.
Deux heures
plus tard, Julie est rentrée et ne semblait pas du tout surprise de me voir
ainsi. "Prêtes à sortir dîner les filles?" Puis, en voyant mon visage
horrifié, elle m'a demandé: "Quel est le problème, Andrea?"
"Andrea? C'est Andrew! Et j'espère que vous n'avez pas l'intention de
m'obliger à rester comme ça!" "Comment, comme ça?" Je protestai:
"Vous ne pouvez pas exiger de moi de sortir dîner habillé en femme! Tu ne
peux plus me dire que personne ne le verra, Julie!" "Je ne comprends
pas Andrea, nous sommes trois filles qui s'apprêtent à sortir dîner, comme
elles le font habituellement." Puis elle s'est interrompu et a dit:
"Oh pardon, Andrea, c'est vrai que ces derniers temps, tu t'es coiffée
comme un garçon." Elle a alors passé une demi-heure à boucler mes cheveux
avec un fer à friser, me conseillant de les laisser pousser davantage. Claire
m'a ensuite maquillé avec du mascara, un eyeliner, et du rouge à lèvres. Julie
m'a alors dit qu'il était temps que je cesse de me comporter en garçon manqué. Mon
passé de garçon semblait soudain effacé, et mes vieux vêtements ont été jetés
ou détruits.
D'après ce
que je savais, la seule autre personne qui savait que j'étais un homme forcé de
s'habiller en femme était la mère de Claire. C'est elle qui m'a fourni une
gaine Playtex que je devais porter pour sortir. C'était destiné à me donner une
silhouette plus féminine. Pendant les six mois suivants, j'ai simplement
accepté que j'étais désormais Andrea, parce que c'était plus facile pour moi de
leur obéir, mais j'étais toujours intimidé quand je sortais en fille avec Julie
et Claire.
Il y a six
semaines, j'ai finalement décidé de rentrer chez ma mère et de me soumettre à
son autorité. C'était la première fois que je sortais seul en tant qu'Andrea.
C'était très effrayant pour moi, et j'étais terrifié que quelqu'un m'adresse la
parole et ne découvre la vérité. Mais j'étais assez confiant, car personne ne pouvait
deviner qui j'étais simplement en me regardant. Je suis arrivé à la maison de
mes parents. J'espérais que tout le monde serait sorti, et que je pourrais
peut-être me glisser jusqu'à ma chambre et retrouver d'anciennes affaires pour
me changer, et ensuite attendre le retour de ma mère pour lui demander pardon
d'être parti ainsi. J'étais prêt à accepter même la plus sévère des punitions.
Mais la
malchance me poursuivait. La porte n'était pas verrouillée, et donc quelqu'un
était à la maison. En entrant, j'ai entendu que quelqu'un était au salon et
regardait la télé. Je me suis alors faufilé en silence jusqu'à ma chambre. Mais
en entrant, j'ai vu que ma chambre avait complètement changé. C'était une
chambre très féminine, avec une table de maquillage toute équipée. Les placards
étaient remplis de robes, de jupes, et de toutes sortes d'autres tenues féminines.
Aucune de mes anciennes affaires n'étaient plus là. Une jolie femme de l'âge de
ma mère a alors fait son entrée. Je suis resté paralysé et elle a dit:
"Vous devez être Andrea." "Qui êtes-vous, et comment savez-vous
qui je suis?" "Je sais tout à propos de vous, jeune fille. Je connais
Julie depuis des années. Nous avons travaillé ensemble dans un centre d'appels.
Votre mère m'a appelé pour me dire que vous seriez sans doute en chemin pour venir
ici." Je demandais niaisement: "Cela veut dire qu'elle sait à propos
de moi?" "Qu'elle sait quoi?" J'ai alors réalisé que cette femme
n'était sans doute pas au courant de ma féminisation. J'ai lors couru vers la
chambre de mon père, espérant y trouver quelques vêtements masculins, mais elle
était vide.
J'ai lors
demandé à Beverly, la nouvelle compagne de ma mère, où était mon père. Elle m'a
simplement répondu que ma mère allait bientôt rentrer, et qu'elle allait tout
m'expliquer. A son entrée, ma mère me dit: "Bonjour ma chérie, tu m'as
manquée!" Je lui ai alors demandé depuis quand elle était au courant.
"Au courant de quoi, Andrea?" j'étais bien trop embarrassé pour
parler de cela devant Beverly. Mais je lui ai dit: "Je ne savais pas si
l'instigatrice de tout ça était Julie ou Claire, mais j'ai l'impression qu'en
réalité, c'était toi." Ma mère m'a répondu: "Désolée, ma chérie, mais
je ne comprends pas de quoi tu parles."
"Aucune
importance, où est papa?" Ma mère m'a alors explique que leur mariage
avait pris fin et qu'elle l'avait mis dehors. Elle m'a tout de même donné son
adresse. Alors que j'étais bouleversé, elle a appelé mon père et m'a dit qu'il
allait venir pour me voir. "Je ne peux pas le laisser me voir comme
ça!" Ma mère répondait comme si tout était normal: "Comment, comme
ça? Allons Andrea, sèche tes larmes et retouche ton maquillage." Je
comprenais qu'elle tenait à ce que mon père me voie ainsi, et que cela allait
être la démonstration de son pouvoir et de la faiblesse de mon père. J'ai alors
appelé mon père pour lui dire de ne pas venir. Il a répondu, m'appelant Andrew,
et mon fils. Je lui ai demandé s'il savait quelque chose à mon propos, et il
m'a répondu que non. Il m'a alors demandé pourquoi il ne devait pas venir. Je
ne lui ai pas dit pourquoi, mais j'ai insisté pour qu'il ne vienne pas. J'avais
au moins évité à mon père de me voir comme sa seconde fille.
Pendant que
j'étais au téléphone avec lui, il m'a expliqué que son mariage avait été un
échec parce qu'il avait été trop faible, et qu'il avait aussi perdu son emploi
pour les mêmes raisons. Il a admis mériter d'être mal traité par sa femme parce
qu'il était pathétique. Je lui ai dit de ne pas se déconsidérer à ce point, et
que j'allais venir le voir dès que possible. Après que j'ai accroché, ma mère
m'a dit: "Quelle gentille fille tu fais, à te soucier à ce point de ton
papa. Est-ce que tu reviens vivre à la maison, avec Bev et moi, ou est-ce que
tu préfères rester avec ta sœur?" C'était maintenant évident que, quel que
soit mon choix, j'allais devoir continuer à vivre en fille. Je n'ai pas revu
mon père depuis, mais nous restons en contact par téléphone.
Je suis
toujours en colère d'avoir été ainsi féminisé, mais en même temps, j'admire et
je respecte le pouvoir des femmes qui m'ont fait ça. J'ai l'impression malgré
tout d'être à ma place. Je pense qu'un jour, à l'avenir, je quitterais tout ça
pour redevenir Andrew, mais je sais déjà que ce jour-là, quelque chose me
manquera.
Ma lettre
n'est sans doute pas très bien rédigée, mais elle est le récit authentique de
ma vie ces derniers mois. Merci pour tout, et continuez votre bon travail sur
votre site.
Andrew/Andrea
Merci pour votre lettre Andrea. La
fin de votre lettre, quand vous acceptez enfin l'inévitable, est très beau.
Bien sûr, une telle féminisation peut être difficile au début, jusqu'au moment
où l'on accepte que l'on vous impose cela pour votre bien.
Lecteurs, merci de nous faire
partager vois expériences. Ce site, qui est une inspiration pour tant de gens,
ne vit que grâce à vos lettres.
Tatie Helga.